Les actionnaires du Racing
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columboLe coup de Serge Cayen c'est assez enorme ... :)) -
Le Messoussi est apparemment un géologue. Pour creuser encore plus profond ?
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Hahaha excellent (+)
Bon c'est quoi la prochaine invention de notre clown de propriétaire ???
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Je veux Cookie Dingler !
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athor a écrit, le 2010-09-22 16:54:52 : Le Messoussi est apparemment un géologue. Pour creuser encore plus profond ?
C'est lui ?
(c'est aragon ?
)
Le conseil de surveillance ne sert officiellement plus à rien, c'est ça ? A part renvoyer le directoire, composé d'Hilali & friends...
Ce sont des bouche-trou dont on parle, c'est pas très important, si ? -
Sauver le club,le pool d'alsaciens,ça me fait rire tout jaune,meme pas foutus de mettre 2 millions pour le rachat du club vu le nombre qu'ils étaient!
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Quel est l'intérêt de faire rentrer le type "chargé de lever des fonds pour mener à bien le projet de construction d'un nouveau stade" au conseil de surveillance ?
Ce sont deux missions totalement différentes et indépendantes, non ?
Enfin bon, vu que le CDS ne se réunit que deux fois par an, cela ne risque pas pas de lui prendre énormément de son temps...
En revanche, quid du mode de rémunération de ce Pierre Ducaille ? -
strohteam a écrit, le 2010-09-22 16:26:01 : Et - oh surprise ! - les holdings n'ont pas été dissoutes.
Le problème de la mise à plat de l'actionnariat, c'est qu'il y a 2 visions des choses qui sont totalement contradictoires :
-Ou on prends les parts "effectives", c'est à dire le % réel de chaque actionnaire en fonction de chaque holding. Et dans ce cas là, on se retrouve avec quelques chose comme 30 % pour Hilali, 70 % pour les locaux
-Ou on prends les proportions liés au prise de décision, donc 51 % pour Hilali (ou plus ? Vu qu'il doit y avoir une minorité de blocage à au niveau de la SASP). Et là, c'est les Lohr et Pignatelli qui seront contre, puisqu'ils auront le sentiment d'avoir été floué aux vues de l'argent qu'ils ont investi.
En somme, à moins de trouver un compromis (qui sous entends déjà une normalisation des échanges), on n'aura pas de mise à plat avant le départ de l'an des 2 "clans"... -
Sinon tout le monde essaye d'être une personne importante , d'être un dirigeant, une vedette , donc ils font n'importe quoi, cf Bockel .
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strohteam a écrit, le 2010-09-22 16:53:01 : Yeah, la grande roue de la fortune Un jour : un nom est repartie.
Jn'ai pas bien compris -
deadwing a écrit, le 2010-09-22 18:36:28 : strohteam a écrit, le 2010-09-22 16:26:01 : Et - oh surprise ! - les holdings n'ont pas été dissoutes.
Le problème de la mise à plat de l'actionnariat, c'est qu'il y a 2 visions des choses qui sont totalement contradictoires :
-Ou on prends les parts "effectives", c'est à dire le % réel de chaque actionnaire en fonction de chaque holding. Et dans ce cas là, on se retrouve avec quelques chose comme 30 % pour Hilali, 70 % pour les locaux
Je sais pas d'où tu sors tes chiffres. Aux dernières nouvelles, Hilali et Fonfon ont 100% d'un truc qui a 70% d'un autre truc qui a 78% du Racing. Ce qui les met encore au dessus des 50% si on simplifie la structure. -
Effectivement mauvais souvenir, ils auraient autour de 54 % des parts, ce qui donne la majorité, mais il me semble qu'il y a une minorité de blocage, qui bloque à son tour la situation.
Edit :
Citation: Sitterlé veut 34 %.
Patron haut-rhinois de la société « The Skreenhouse Factory » récemment rebaptisée « mySkreen.com », Frédéric Sitterlé est toujours disposé à verser les deux millions manquants si Jafar Hilali accepte son entrée dans le capital du club et un bouleversement du mode de gouvernance (nos éditions des 3 et 7 juillet). Les deux hommes négocient actuellement, mais l'actionnaire londonien n'est guère enclin à accéder aux exigences de l'homme d'affaires alsacien soutenu par la municipalité de Strasbourg. En contrepartie de son apport de deux millions, F. Sitterlé réclame en effet 34 % des parts du RCS. Un pourcentage qui n'a rien d'anodin : il disposerait ainsi de la minorité de blocage et pourrait s'opposer à toute décision ne lui convenant pas. Sauf à se retrouver le couteau sous la gorge avant son passage devant la DNCG d'appel, Hilali ne donnera sûrement pas suite à un projet qui remettrait en cause son pouvoir hégémonique.
L'Alsace
En somme là, c'est une solution qui réduit les pouvoirs d'Hilali, alors qu'il n'aurait aucune contre partie.
Et comme je le disais, à contrario, si on y va au "pouvoir" actuelle (donc Hilali à 67 %, pour ne pas subir la minorité de blocage, les locaux devraient accepter de "perdre" leur 13 % actuelle) -
La nomination au conseil de surveillance de J. Kientz, taxé par certains d'avoir retourné sa veste pour assouvir ses ambitions personnelles, est d'ailleurs le point qui a le plus fait débat, les actionnaires minoritaires alsaciens votant en grande majorité contre.
Ce n'est pas critiquable en soi. Juste une réalité. En 1997, IMG/Mc Cormack et Patrick Proisy avaient instauré le même mode de fonctionnement pour s'assurer une entière liberté d'action.
(L'Alsace) -
Hilali prend la main
Olivier Kachkach s'est une nouvelle fois fait le porte-parole d'un Jafar Hilali qui a encore différé son apparition devant la presse. Jean-Claude Plessis a été nommé président d'un directoire dont l'actionnaire majoritaire sera en réalité le vrai patron. Photo Dominique Gutekunst
En entrant au nouveau directoire hier après l'assemblée générale du RCS, Jafar Hilali a officialisé une situation de fait : le patron de Carousel Finance est le véritable décideur du club. Son associé Alain Fontenla hérite de la présidence d'un conseil de surveillance au rôle de faire-valoir.
La petite histoire du Racing retiendra que le 22 septembre 2010, Jafar Hilali, déjà venu à l'improviste lundi à la Meinau pour la première fois en dix mois de pouvoir, a officiellement pris la main lors de l'assemblée générale de la SASP (société anonyme sportive professionnelle).
Présent pour la 2 e fois en 48 heures, l'actionnaire majoritaire est apparu au grand jour. Du moins devant les actionnaires du RCS. Pas devant la presse, puisqu'il n'a pas souhaité participer à la conférence qui a suivi, animée par Plessis, son bras droit Olivier Kachkach et Serge Cayen, directeur de la sécurité du club à la retraite, qui a « survécu » à tous les changements de propriétaires. Une conférence couverte par les deux seuls quotidiens régionaux, preuve que l'AG d'hier apparaît aux yeux du monde médiatique comme un non-événement.
Dans les faits, « le mode d'administration de la société a été modifié », selon les termes de Jean-Claude Plessis, nommé président d'un directoire complété par Jafar Hilali et le président délégué Christophe Cornelie. L'ancien conseil d'administration de neuf personnes a été dissous. Le nouveau directoire est placé sous le contrôle théorique d'un conseil de surveillance de onze membres (voir le détail ci-dessous), présidé par l'autre propriétaire Alain Fontenla et vice-présidé par Jacky Kientz, ancien président du RCS (1990-1992).
La nomination de J. Kientz, encore membre du pool de repreneurs alsaciens au printemps et chargé de mission depuis juillet auprès des propriétaires londoniens, a suscité le seul débat contradictoire de l'après-midi. D'aucuns le taxent d'avoir retourné sa veste pour assouvir ses ambitions personnelles. La majorité des petits actionnaires alsaciens s'est d'ailleurs abstenu sur sa nomination, certains votant contre.
« Dépenser moins, mais gagner plus »
Cette nouvelle structure pyramidale, guidée selon Plessis par « une volonté d'apaisement », a surtout pour effet de concentrer le pouvoir décisionnaire sur trois personnes (1). « Les gens du conseil de surveillance ont tous un rôle à jouer », tente de convaincre Kachkach, « ils ne sont pas là par hasard. Des erreurs ont été commises par tout le monde. Nous avons tourné cette page-là. Nous voulons que tous rament dans le même sens pour le bien du club. »
« Jafar Hilali a choisi de placer au conseil des gens qui peuvent apporter leur expérience et leur capacité de réflexion », complète Cayen. Louable intention certes, mais qui ne saurait masquer la réalité. Ledit conseil de surveillance n'a qu'un seul pouvoir : dissoudre le directoire en cas de désaccord. Pouvoir qu'il n'exercera pas, puisqu'il est sous contrôle des Londoniens et n'est qu'une chambre d'enregistrement de décisions pour la plupart déjà prises. Patrick Proisy et IMG/Mc Cormack l'avaient bien compris, eux qui avaient eu recours dès 1997 au même mode de gouvernance.
En AG, Jafar Hilali a présenté ses cinq priorités : un, la remontée en L 2 ; deux, l'équilibre budgétaire ; trois et quatre, la relance de la candidature de Strasbourg à l'Euro 2016 et la construction d'un nouveau stade ; cinq, la diversification des modes de financement du centre de formation (voir par ailleurs).
À en croire les propos de son porte-parole Olivier Kachkach ci-contre, Hilali se prépare à adapter au Racing le fameux « travailler plus pour gagner plus » de Nicolas Sarkozy : « Dépenser moins, mais gagner plus (Ndlr : sur le terrain) . » On saura dans quelques mois si cette vision est applicable au football.
Stéphane Godin
(1) En théorie, la voix du président compte double. En pratique, on peut en douter
L'Alsace -
W&S !
Au moins Hilali nous a épargné son frangin
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Je suis également d'avis que Kientz a retourné sa veste. J'avoue m'être trompé sur la personne.
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C'est tout à ton honneur bibi57 (+)
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bibi57 a écrit, le 2010-09-23 15:55:45 : Je suis également d'avis que Kientz a retourné sa veste. J'avoue m'être trompé sur la personne.
Le comportement de Kientz me laisse également sceptique. Tiens d'ailleurs ce serait bien qu'il s'en explique publiquement afin qu'on puisse mieux comprendre sa démarche...
Et si en fait il cherchait à gagner la confiance de Jafar pour lui planter ensuite un couteau dans le dos ? Si tel est le cas alors il a ma bénédiction... :D
~o) -
Tu n'as qu'à l'invité à la radio
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paolo a écrit, le 2010-09-23 17:04:09 : Tiens d'ailleurs ce serait bien qu'il s'en explique publiquement afin qu'on puisse mieux comprendre sa démarche...
Tu n'as pas noté mon subtil appel du pied subliminal ?
~o) -
J'en ririe encore :)
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[login=Serge Cayen], [login=Pierre Ducaille], [login=Lakhdar Messoussi ], [login=Thierry Wendling] et [login=Michel Wild] n'ont pas encore leur fiche respective?
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M'est avis que Jacky Kientz est surtout prêt à s'allier à n'importe qui pourvu que ça semble le rapprocher de la direction du Racing. Ce qui n'est pas forcément incompatible avec un amour sincère pour le club mais peut contrevenir à ses intérêts. Plessis n'est pas éternel - au moins en tant que président...
Bon, j'arrête d'être médisant.
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J Kientz a fait le bon choix, car en cas de retrait de jafar and co , il sera le repreneur qui a été le plus proche de l'equipe en place
De toute manièere Kientz a été l'un des meilleurs et plus ambitieux president du Racing avec Weller
Je suis à fond derrière lui, les autres actionnaires de toutes manières sont que pathétiques et ridicules à l'image de specht and co
On peut reprocher bien des choses à Ginestet mais au moins, lui il a pris des risques meme s'il s'est planté pas commes les autres actionnaires de pacotilles -
Oui bon, faut pas oublier que Specht était pieds et poings liés, et qu'il a accepté le poste "pour le bien du Racing".
Dans cette affaire là, c'est plus ginestet le tocard, qui à refilé le bébé chiasseux à la première bonne âme venue.
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